lundi 20 juillet 2015

RDC : « Janet KABILA » : Partout où mourra mon frère, vous mourrez avec lui !

Le 4 juillet dernier, «Joseph Kabila» a convoqué 4 de ses meilleurs «stratèges» et «spécialistes» de la fameuse voie du «glissement» ou du «contournement» de la constitution pour lui assurer la pérennité à la tête du pouvoir d’occupation en RDC. L’omniprésente sœur de Kanambe, Janet «Kabila» a assisté à la réunion, et c’est elle qui a même pris la parole la première, à la place de son frère, taciturne, pour invectiver les 4 collabos congolais pour avoir reçu beaucoup d’argent et fait beaucoup de fausses promesses sans suite. S’adressant à Boshab, elle lui a rappelé son échec cuisant à modifier la constitution ; à Kimbuta elle lui a reproché sa fausse popularité et sa promesse de maîtriser les kinois et de les gagner à la cause de son frère. Les événements du 19, 20 et 21 janvier ont démontré juste le contraire; à Kalev elle lui a reproché sa fausse promesse à gagner les hommes politiques congolais à la thèse du dialogue. L’air très fâché et son revolver en main, « Joseph Kabila » appuie sa sœur et confirme que ces propos sont à prendre très au sérieux et insiste qu’ils doivent rembourser l’argent reçu s’ils ne remplissent pas leur part du marché. Janet Kabila a enchaîné en guise de conclusion  en disant : « C’est à prendre ou à laisser, mais vous n’avez pas de choix. Car, sachez que si rien n’est fait, partout où mourra mon frère, vous mourrez avec lui. Vous n’y échapperez pas. Vous n’avez pas de choix!» La réunion prit fin sous cette ambiance de menace et de terreur.
Le carillonde la résistance populaire continue de sonner le glas du régime d’occupation en place en RD-Congo depuis Mai 1997. Et l’imposteur rwandais à la tête du tutsi-power à Kinshasa est le premier à s’en rendre compte et à se débattre comme un diable dans le bénitier pour tenter vainement de conjurer le sort. Il enchaîne réunion sur réunion, changeant autant de partenaires que de stratégies…
Le 4 juillet dernier, «Joseph Kabila» a convoqué 4 de ses meilleurs «stratèges» et «spécialistes» de la fameuse voie du «glissement» ou du «contournement» de la constitution pour lui assurer la pérennité à la tête du pouvoir d’occupation en RD-Congo. Il s’agit de Kalev Mutond, AG/A.N.R., Evariste Boshab, Vice-premier ministre et ministre de l’intérieur, André Kimbuta, gouverneur de la ville-province de Kinshasa et Muyej, ancien ministre de l’intérieur, prédécesseur de Boshab. L’omniprésente sœur de Kanambe, Janet «Kabila» a assisté à la réunion, et c’est elle qui a même pris la parole la première, à la place de son frère, taciturne, pour invectiver les 4 collabos congolais pour avoir reçu beaucoup d’argent et fait beaucoup de fausses promesses sans suite.
S’adressant à Boshab, elle lui a rappelé son échec cuisant à modifier la constitution ; à Kimbuta elle lui a reproché sa fausse popularité et sa promesse de maîtriser les kinois et de les gagner à la cause de son frère. Les événements du 19, 20 et 21 janvier ont démontré juste le contraire; à Kalev elle lui a reproché sa fausse promesse à gagner les hommes politiques congolais à la thèse du dialogue, et elle lui a rappelé sa promesse de «maîtriser Ngbanda et l’APARECO qui continuent toujours de nous humilier et monter les Congolais contre nous». Evariste Boshab voulut prendre la parole pour donner des explications mais il fut brutalement interrompu par une Janet «Kabila» très arrogante et menaçante : «Nous ne vous avons pas appelés pour discuter. Nous en avons assez de vos mensonges ! Je vous ai fait venir pour vous demander de restituer l’argent du président que vous avez reçu » (sic) !
L’air très fâché et son revolver en main, « Joseph Kabila » appuie sa sœur et confirme que ces propos sont à prendre très au sérieux et insiste qu’ils doivent rembourser l’argent reçu s’ils ne remplissent pas leur part du marché. Janet Kabila a enchaîné en guise de conclusion  en disant : « C’est à prendre ou à laisser, mais vous n’avez pas de choix. Car, sachez que si rien n’est fait, partout où mourra mon frère, vous mourrez avec lui. Vous n’y échapperez pas. Vous n’avez pas de choix!» La réunion prit fin sous cette ambiance de menace et de terreur.

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